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Ne pas séparer la famille et la vie   versione testuale
Le séminaire d’étude sur les résultats du Synode organisé par le Conseil pontifical pour la famille


Le deuxième séminaire d’étude d’approfondissement sur les résultats du Synode extraordinaire sur la famille, organisé par le Conseil pontifical pour la famille en préparation à la grande conférence des associations et mouvements qui aura lieu au mois de Janvier prochain, a été célébré le Vendredi 28 Novembre 2014.
 
Douze délégués du monde des associations vouées au soutien et à la promotion de la vie humaine, provenant de différentes parties du monde, ont été au centre de cette session (la première a eu lieu au début du mois de Novembre 2014, en compagnie de représentants d’associations familiales internationales).
Il s’est donc agi d’un point de vue tout à fait particulier qui a permis de relire le débat sur la question de la famille à partir de la force génératrice qui garde et réalise justement cette expérience humaine.
Les travaux du séminaire ont été ouverts par l’introduction du président du Conseil pontifical pour la famille, Mgr Vincenzo Paglia, qui a rappelé le travail et les différentes étapes du long parcours synodal. En particulier, l’archevêque a mis l’accent sur le défi que le parcours synodal offre aux églises locales et surtout aux familles. Un défi que le dicastère a l’intention d’assumer avec la promotion et la sollicitation, cette année, d’un débat qui se veut le plus possible diffusé et approfondi, sur les thèmes qui ont caractérisé le Synode de façon marquée, et même sur ceux qui ont été traités ou communiqués aux médias de façon mineure, mais pour lesquels une confrontation et une réflexion sérieuses sont urgentes.
Successivement, Mme Joan Clemens, auditrice du Synode et représentante de la WOOMB (World Organisation Ovulation Method Billings – Organisation mondiale de l’Ovulation selon la Méthode Billings), a offert son témoignage et a raconté son expérience au sujet des travaux synodaux. Dans son intervention, Mme Clemens a fait part du risque que comporte le fait de s’attarder excessivement sur une analyse des aspects critiques de la situation de la famille dans le monde, un risque qui a également été vécu au cours des travaux du Synode. À ce propos, elle a rappelé qu’il est nécessaire de donner toute son importance aussi bien au témoignage continuellement offert par de nombreuses « familles merveilleuses », qui vivent chaque jour leur amour fidèle et fécond, qu’aux possibles solutions concernant les nombreux problèmes – qui existent certainement et qui doivent être abordés – en particulier à l’aide de parcours éducatifs efficaces.
Le reste de la journée a été l’occasion pour les participants de réagir aux réflexions offertes et de reconnaître quelles sont les questions centrales et décisives qui feront l’objet d’une étude et d’un débat approfondis de la conférence qui se tiendra au mois de Janvier prochain.
 
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