Victor et Stella Dominguez du Mouvement de Schoenstatt : « L’Église se doit de trouver une place pour les séparés et les remariés ».
Une « pastorale de l’espoir » pour les séparés et les remariés qui « déclarent se sentir refusés, parce qu’ils se refusent. Quand ils sont acceptés, ils guérissent, ils pardonnent et se sentent pardonnés par Dieu ». C’est ce qu’ont déclaré Victor et Stella Dominguez, du Mouvement de Schoenstatt, en provenance du Paraguay, au cours de leur intervention au Congrès international des mouvements, des groupes et des associations de la famille et de la vie, qui s’est déroulé à Rome, à la fin du mois de Janvier 2015, alors qu’ils s’exprimaient à l’occasion d’une interview avec l’agence Zenit.
Le projet – expliquent-ils ainsi – est destiné à être « un espace que l’Église réserve aux séparés et aux remariés pour qu’ils se sentent les bienvenus et qu’ils ressentent l’amour miséricordieux de Dieu : un lieu où grandir dans la spiritualité et dans la foi, où grandir comme une famille, en percevant que l’Église ne les abandonne pas. Lors des colloques, l’on fait face à des questions relatives à la foi, à la formation des enfants ... des défis auxquels est toujours confrontée une famille ».