Au séminaire préparatoire de Cotonou, stratégie pour “voir, juger, agir” en défense de la famille
Le déclin de l’image de la famille peut-être “plus dangereux que la bombe d’Hiroshima”. C’est l’archevêque de Cotonou, monseigneur Antoine Ganyé, qui le disait le dernier 14 juin souhaitant un éveil humaniste en tout ce qui concerne la question du mariage et de la famille, dans le workshop déroulé en préparation au Synode d’octobre dans la salle de conférences de l’Institut Pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille. A l’occasion de la rencontre, promue par la Conférence Episcopale du Benin pour offrir un apport de l’Eglise en Afrique au Synode, le nonce apostolique du Benin et Togo, monseigneur Brian Udagwé, a invité les participants à appliquer aux réflexions sur le Synode le principe de “voir, juger et agir”. Il les encourageait aussi à écouter, voir et réfléchir sur la situation de la famille en Afrique avec les yeux de Dieu, et à y agir en posant des actes efficaces pour mettre en œuvre les décisions prises en base aux faits observés.