À Cagliari, en conclusion de la rencontre avec le monde du travail, , dimanche 15 Septembre, le Pape a mis de côté son texte préparé, qu’il a remis comme lu, et a touché le cœur de tous par ces mots :
« Luttons tous ensemble pour qu’au centre, au moins de notre vie, il y ait l’homme et la femme, la famille, nous tous, afin que l’espérance puisse aller de l’avant. « Ne vous laissez pas voler l’espérance ! ». À présent, je voudrais terminer en priant pour vous tous en silence, en priant avec vous tous, en silence. Je dirai tout ce qui me vient du fond du cœur, et vous, vous prierez avec moi en silence: « Seigneur Dieu, regarde-nous ! Regarde cette ville, cette île ! Regarde nos familles. Seigneur, à toi le travail n’a pas manqué. Tu as été charpentier. Tu étais heureux. Seigneur, le travail nous manque. Les idoles veulent nous voler la dignité. Les systèmes injustes veulent nous voler l’espérance. Seigneur, ne nous laisse pas seuls. Aide-nous à nous aider les uns les autres ; que nous oubliions un peu l’égoïsme, et sentions dans le cœur le « nous », nous, le peuple qui veut aller de l’avant. Seigneur Jésus, toi à qui le travail n’a pas manqué. Donne-nous du travail. Et enseigne-nous à lutter pour le travail. Et bénis-nous tous. Au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit »» .
